pas de quartier à fatchakulla city ! ça dépiaute sec, on étripe à tout va au détour des chemins sous la lune. des marécages montent détranges ronronnements généralement suivis de découvertes macabres. du plus fieffé salaud du canton à dautres proies plus délicates (quoique !), les victimes saccumulent au fur et à mesure quun être mystérieux les lacère, les mange puis les éparpille aux quatre vents. une tête par-ci, un bout de bras par-là... fatchakulla, jusque-là connu pour ses dégénérés consanguins et ses alligators, sest trouvé une autre spécialité. les habitants crèvent de trouille. on parle de fantômes et desprits et tout le monde semble pouvoir y passer. même la grosse flozetta sest fait bouffer !...