« On a trop oublié la joie de lire quand on sennuie, et que le monde, devenu monde mondialisé, se déguisant dangoisse, et partout identique à lui-même, est dun ennui mortel. Ces pages, vibrantes de saveur, et nullement des refuges, qui en appellent à prendre le parti poétique et politique de changer le monde, nous ramènent au goût de la révolte et à la jubilation dun plaisir oublié. Liberté, jubilation, alerte : tels seraient les mots dordre vers lesquels je verrais se diriger le Surréalisme aujourdhui. Et dès lors ce qui est intemporel, dans ce mouvement, cest peut-être - sans paradoxe - son sens de lHistoire. » Jacqueline Chénieux-Gendron.