La presse en parle Un livre qui restera probablement son chef-doeuvre. (...) Erec et Enide nous parvient après sa mort. Reste que sa vocation testamentaire ne devrait pas nous empêcher dy déceler aussi les traces dune ironie formidable, un art de la satire sociale, une chaleur et presque une drôlerie qui forment le plus savoureux contrepoint à sa mélancolie, à son désenchantement. Les grands romans nous ont habitués à une telle polyphonie. où à de tels changements de tonalité. Erec et Enide ne fait pas exception à la règle. (Frédéric Vitoux - Le Nouvel Observateur - Le Nouvel Observateur - 01/01/2007)