« Il aurait pu lutter encore, tenter sa chance : il ny a pas de fatalité extérieure. Mais il y a une fatalité intérieure : vient une minute où lon se découvre vulnérable ; alors les fautes vous attirent comme un vertige. Et cest à cette minute que luirent sur sa tête, dans une déchirure de la tempête, comme un appât mortel au fond dune nasse, quelques étoiles. Il jugea bien que cétait un piège : on voit trois étoiles dans un trou, on monte vers elles, ensuite on ne peut plus descendre, on reste là à mordre les étoiles... Mais sa faim de lumière était telle quil monta. »