« Aujourdhui encore, quand me guettent des pages décriture, mes ordres de grandeur sont convertis en intensité physique. Cela peut sembler incongru ou trivial de comparer le noble effort des lettres et celui du rémouleur de bitume. Pour moi, ils sont égaux et, pour tout dire, la fibre cycliste, parce quelle ma souvent remué la chair, mest apparue comme une préparation sans pareille pour affronter le vertige des mots, lépaisseur du langage au milieu duquel le chemin est étroit pour trouver le ton juste, le bon rythme, limage, la couleur, la musique, lémotion, la grâce. » Éric Fottorino.