« En sortant dune longue et douce rêverie, en me voyant entouré de verdure, de fleurs, doiseaux et laissant errer mes yeux au loin sur les romanesques rivages qui bordaient une vaste étendue deau claire et cristalline, jassimilais à mes fictions tous ces aimables objets ; et me trouvant enfin ramené par degrés à moi-même et à ce qui mentourait, je ne pouvais marquer le point de séparation des fictions aux réalités ; tant tout concourait également à me rendre chère la vie recueillie et solitaire que je menais dans ce beau séjour. »