chère mère, lui dis-je, quavez-vous ? vous pleurez ; que je suis fâchée de vous avoir entretenue de mes peines !... a linstant, elle ferma ma porte, elle éteignit sa bougie et elle se précipita sur moi. elle me tenait embrassée ; elle était couchée sur ma couverture à côté de moi. - chère mère, lui dis-je, quavez-vous ? est-ce que vous vous trouvez mal ? que faut-il que je fasse oe - je tremble, me dit-elle, je frissonne ; un froid mortel sest répandu sur moi. - voulez-vous que je me lève et que je vous cède mon lit oe - non, me dit-elle, il ne serait pas nécessaire que vous vous levassiez ; écartez seulement un peu la couverture, que je mapproche de vous ; que je me réchauffe et que je guérisse.