elle sanglotait. labbé faujas avait redressé sa haute taille, il sapprocha de marthe, laissa tomber sur elle son mépris de la femme. - ah ! misérable chaire ! dit-il. je comptais que vous seriez raisonnable, que jamais vous nen viendriez à cette honte de dire tout haut ces ordures. oui, cest léternelle lutte du mal contres les volontés fortes. vous êtes la tentation den bas, la lâcheté, la chute finale. le prêtre na pas dautre adversaire que vous, et lon devrait vous chasser des églises, comme impures et maudites. - je vous aime, ovide, balbutia-t-elle encore ; je vous aime, secourez-moi.