La démocratie dans Globalia est universelle et parfaite, tous les citoyens ont droit au « minimum prospérité » à vie, la liberté dexpression est totale, et la température idéale. Les Globaliens jouissent dun éternel présent et dune jeunesse éternelle. Évitez aussi dêtre, comme Baïkal, atteint dune funeste « pathologie de la liberté », vous deviendriez vite lennemi public numéro un pour servir les objectifs dune oligarchie vieillissante dont lune des devises est : « Un bon ennemi est la clef dune société équilibré. » Un grand roman daventures et damour où Rufin, tout en sinterrogeant sur le sens dune démocratie poussée aux limites de ses dangers et de la mondialisation, évoque la rencontre entre les civilisations et les malentendus, les espoirs et les violences qui en découlent.