« Jignorerai toujours à quoi elle passait ses journées, où elle se cachait, en compagnie de qui elle se trouvait pendant les mois dhiver de sa première fugue et au cours des quelques semaines de printemps où elle sest échappée à nouveau. Cest là son secret. Un pauvre et précieux secret que les bourreaux, les ordonnances, les autorités dites doccupation, le Dépôt, les casernes, les camps, lHistoire, le temps - tout ce qui vous souille et vous détruit - nauront pas pu lui voler. »