« Les barrages de la mère dans la plaine, cétait le grand malheur et la grande rigolade à la fois, ça dépendait des jours. Cétait la grande rigolade du grand malheur. Cétait terrible et cétait marrant. Ça dépendait de quel côté on se plaçait, du côté de la mer qui les avait fichus en lair, ces barrages, dun seul coup dun seul, du côté des crabes qui en avaient fait des passoires, ou au contraire, du côté de ceux qui avaient mis six mois à les construire dans loubli total des méfaits pourtant certains de la mer et des crabes. Ce qui était étonnant cétait quils avaient été deux cents à oublier ça en se mettant au travail. »